Leplus beau dans tout ça. Le plus beau dans tout ça en Streaming. Culture-Théùtre. Non diffusĂ© en ce moment Ă  la tĂ©lĂ©vision. Culture-Théùtre. AprĂšs dix ans passĂ©s Ă  New York pour Cest trĂšs Ă©mue que je poste ici la derniĂšre vidĂ©o de citron chataigne et son histoire. Merci Ă  vous de nous avoir suivis dans cette aventure magique, nous sommes infiniment reconnaissants de tout : les Lacampagne du vide. La campagne de la coqueluche Macron compense, il est vrai, par son matraquage terroriste le vide abyssal de son programme. L’intĂ©ressĂ© n’a-t-il pas affirmĂ© dans le Journal du dimanche que « c’est une erreur de penser que le programme est le cƓur » d’une campagne Ă©lectorale, alors que, selon lui, la politique, c’est « mystique », c’est un « style Octaveest attachant, drĂŽle et cultivĂ©. Matt est beau, charmeur et sĂ»r de lui. Tout les oppose, ce qui promet un duel hilarant et fĂ©roce. Mais tous deux dĂ©sirent la mĂȘme chose : conquĂ©rir le coeur de la belle Claudine qui, aidĂ©e de sa meilleure amie JoĂ«lle, devra choisir le LePlus Beau dans tout ça, de Laurent Ruquier, Théùtre des VariĂ©tĂ©s, Paris IIe, Ă  20 h 30. TĂ©l. : 01.42. 33.09.92. Andrea ChĂ©nier, d’Umberto Giordano. Sous un nom italianisĂ©, Andrea Ă©crit le 08/03/20 , a vu Le plus beau dans tout ça,Théùtre des VariĂ©tĂ©s - Grande Salle Paris avec Willy 75 Inscrit Il y a 8 ans 4 critiques . Utile: Oui Non-TrĂšs beau moment. 10/10. Belle piĂšce de théùtre, on rit tout au long. # Ă©crit le 08/03/20 , a vu Le plus beau dans tout ça,Théùtre des VariĂ©tĂ©s - Grande Salle Paris avec BilletReduc.com . marsceaux . Dimanche, ARTE diffuse le premier Ă©pisode d’une trilogie documentaire sur la danse. Et c’est absolument fantastique ! Cet article a Ă©tĂ© Ă©crit dans le cadre d’un partenariat commercial avec ARTE. ConformĂ©ment Ă  notre Manifeste, on y a Ă©crit ce qu’on voulait. Mise Ă  jour du 20 octobre Et voilĂ , tu peux Ă  prĂ©sent revoir la troisiĂšme et derniĂšre partie du documentaire Let’s Dance sur ARTE +7 ! Allez, tu seras bien ! Et moi, je suis trĂšs triste que ce soit terminĂ©. VoilĂ , c’est dit. PS ARTE si tu m’entends, peux-tu rĂ©aliser ce type de documentaire sur le théùtre, la musique, le cinĂ©ma, TOUTMERCI ! Mise Ă  jour du 17 octobre Ce dimanche Ă  22h25, Arte met le point final Ă  sa trilogie documentaire Let’s Dance. C’est triste, je sais, mais toutes les bonnes choses ont une fin
 Dans ce troisiĂšme Ă©pisode, Let’s Dance s’intĂ©resse au corps, ou plutĂŽt Ă  tous les corps ! La danse n’est ici plus rĂ©servĂ©e aux corps sublimĂ©s et parfaits mais Ă  ceux que l’on attend pas, ou plus. Entre corps sales, vieux, handicapĂ©s, la danse est pourtant lĂ . Elle est vivante, et c’est beau. Et si vous avez ratĂ© la deuxiĂšme partie, il vous reste encore deux jours pour la revoir en replay ! Mise Ă  jour du 13 octobre Le ciel est bleu mais ça ne va pas durer
 Si si ! Donc pour combler tes soirĂ©es, sache que le documentaire de ce dimanche est disponible sur le replay d’Arte ! Tu as donc 7 jours tout pile pour le revoir et rĂ©viser tes cours d’anatomie ! Mise Ă  jour du 10 octobre Ce dimanche Ă  22h25, la deuxiĂšme partie de la trilogie documentaire Let’s Dance d’ARTE s’intĂ©resse Ă  la nuditĂ© ; pourquoi danser nu ? A poil ! explore la libĂ©ration du corps – et par lĂ  de l’esprit – des corps nus sur scĂšne comme dans la rue. Le bouleversement des codes et des genres est explorĂ© dans l’émancipation de tous les artifices les corps sont montrĂ©s comme ils sont, et la place des danseurs s’en trouve bouleversĂ©e. Et si vous avez ratĂ© la premiĂšre partie, il vous reste encore deux jours pour la revoir en replay ! Mise Ă  jour du 6 octobre Ca y’est, le documentaire est disponible sur le replay d’Arte ! Tu as donc 7 jours tout pile pour le revoir et tout connaĂźtre sur le pied ! Le dimanche soir, c’est pas toujours la joie on appelle ça le syndromus dĂ©primationi du domincho non. Mais les trois dimanches Ă  venir vont envoyer du lourd si vous vous calez devant ARTE — et je ne saurais que vous le recommander trĂšs trĂšs fortement ! À lire aussi Comment bien dĂ©primer le dimanche Let’s Dance est une sĂ©rie documentaire Ă©crite par Florence Platarets et Olivier Lemaire et rĂ©alisĂ©e par ce dernier, qu’il serait plus que dommage de rater. Une histoire de la danse au vingtiĂšme siĂšcle Le documentaire n’est a priori pas un genre qui me fait forcĂ©ment palpiter, mais vraiment, vous ne risquez pas de vous ennuyer devant celui-ci. Let’s Dance s’adresse Ă  tous les amoureux de la danse, et Ă  tous les autres il montre avant tout un art vivant, un art du mouvement et en mouvement, en constante Ă©volution, ouvert Ă  toutes les interprĂ©tations et Ă  toutes les rĂ©appropriations. À lire aussi 6 idĂ©es reçues sur la danse classique La trilogie trace une histoire de la danse au vingtiĂšme siĂšcle d’une façon accessible Ă  tous, dynamique, enlevĂ©e, mais aussi fouillĂ©e, fine et sensible. Et l’une de ses surprises, c’est que c’est drĂŽle, vraiment ! Les liens entre les diffĂ©rentes danses ne se font pas de façon strictement linĂ©aire ou chronologique chaque Ă©pisode se concentre sur une partie ou un aspect du corps, que ce soit le pied, la peau nue ou le corps tout entier et l’émancipation et l’expression que la danse permet. Tout le monde il est beau
 » Et puis cela fait du bien de voir des danses aussi diffĂ©rentes placĂ©es sur un pied d’égalitĂ© pardon, et d’avoir une vision qui ne s’arrĂȘte pas aux frontiĂšres de l’Europe et des États-Unis, ou Ă  celles de la morale » dominante. On se balade au Crazy Horse comme sur les scĂšnes contemporaines oĂč tout le monde danse joyeusement ou non dans le plus simple pas pareil ; ça saute, ça glisse, ça s’agite tout ce que cela peut tripoter, ça rampe, ça se dĂ©hanche et ça twerke sur des musiques trĂšs trĂšs cool. À lire aussi Sia fait danser Maddie Ziegler, 12 ans, dans son clip Chandelier De la danse créée par les miniers sud-africains Ă  la danse traditionnelle indienne en passant par le burlesque, il ressort de Let’s Dance une plĂ©nitude galvanisante que ce soit chez les danseurs, dans leurs mouvements ou la façon dont ils sont filmĂ©s et que les images sont montĂ©es, une passion et un enthousiasme nous sautent littĂ©ralement dessus. DerriĂšre les diffĂ©rents styles, les danseurs sont montrĂ©s comme empreints du mĂȘme besoin d’expression et de mouvement, et tous expriment un rapport particulier et personnel Ă  leur corps et au monde qui les entoure, toutes pĂ©riodes et tous milieux sociaux confondus. Enfin, c’est beau ! Certaines scĂšnes sont des mises en scĂšnes Ă  part entiĂšre, et font penser au film documentaire Pina de Wim Wenders. C’est trĂšs trĂšs bien filmĂ©, ce qui relĂšve tout de mĂȘme du dĂ©fi dĂšs qu’on touche Ă  la danse. Et c’est d’autant plus fou dans le premier Ă©pisode C’est le pied ! qui s’intĂ©resse
 aux pieds. Le saviez-vous ? Pied se dit pied en flamenco. Sur ce, je vous laisse baver devant le trailer, et je m’en vais faire le pied de grue devant ma tĂ©lĂ©. Ça commence dimanche soir sur ARTE, Ă  22h25 ! La rediffusion de L'Instit sur Gulli donne une mine fringante Ă  son interprĂšte. Dix ans aprĂšs avoir quittĂ© le rĂŽle de Victor Novak, professeur des Ă©coles, GĂ©rard Klein fait le bilan...Entretien en intĂ©gralitĂ© dans Closer, le 28 y a exactement dix ans, vous arrĂȘtiez volontairement L'Instit. Un heureux anniversaire ou pas?Un bon anniversaire ! J'ai fait l'instit pendant douze ans. J'ai Ă©tĂ© loyal avec tout le monde. On a bien rigolĂ© avec les rĂ©alisateurs et les enfants. J'ai voulu faire Ă©voluer la sĂ©rie. Aucune rĂ©ponse. Je ne regrette pas d'avoir mĂšre est dĂ©cĂ©dĂ©e fin octobre Ă  l'Ăąge de 105 ans.......et demi. Il faut dire qu' elle a eu la chance que ma sƓur Simone s'occupe d'elle pendant cinquante-trois ans ! Ma sƓur s'est sacrifiĂ©e pour moi afin d'apporter le plus de libertĂ© possible dans ma disait-elle de vous ? Mon bon gamin, tu as toujours eu du pot ! » Ce qui est vrai. Tout ce qui m'est arrivĂ© dans la vie m'est arrivĂ© par imagine qu'elle Ă©tait fiĂšre de vous...J'ai eu la chance que L'Instit ait une bonne image. Mais c'est moi qui Ă©tais fier d'elle. A l'Ă©glise, aux Sables d'Olonne,je ne voulais pas que ce soit triste. J'ai distribuĂ© des photos d'elle et parlĂ© d'elle depuis l'usine Ă  14 ans jusqu'Ă  ses 105 ans. Ce moment aurait pu ĂȘtre pesant,il a Ă©tĂ© souriant. A son image. Et je penseque ça lui a plu. Les gens Ă©taient contentset ont nouveau Closer est disponible en kiosque ce vendredi et tĂ©lĂ©chargeable sur smartphone, iPad et KiosqueMag dĂšs jeudi soir Ă  20 heures. Et retrouvez en temps rĂ©el les scoops de Closer sur notre compte Twitter closerfr Par Alfredo Allegra 25 septembre 2019 1243Le plus beau dans tout ça, au théùtre des VariĂ©tĂ©s. Photo Maxime Guerville. Le plus beau dans tout ça », de Laurent Ruquier. Mise en scĂšne par Steve Suissa. Avec RĂ©gis LaspalĂšs Octave, Pauline LefĂšvre Claudine, Françoise LĂ©pine JoĂ«lle et Agustin Galiana Matt. Au théùtre des VariĂ©tĂ©sThéùtre des VariĂ©tĂ©s, 7 boulevard Montmartre, Paris-2e. M° Grands Boulevards, Richelieu Drouot ou Bourse. Du mardi au vendredi Ă  20h30, le samedi Ă  17h et 20h et le dimanche Ă  17h. De 20 Ă  63 €. RĂ©s. 01 42 33 09 92.. Jusqu'au 5 janvier 2020. 80'. Matt, un mannequin, Ă©ternel adolescent, aussi beau et charmeur que sĂ»r de lui, revient aprĂšs dix longues annĂ©es d’absence rendre visite Ă  son ex, Claudine, qui, entre-temps, depuis trois ans, est avec Octave, un antiquaire, vieux avant l’ñge mais trĂšs attachant, drĂŽle et cultivĂ©. Pour que Claudine puisse dĂ©partager et choisir entre la beautĂ© physique de Matt et la beautĂ© tout intĂ©rieure d’Octave, Laurent Ruquier a, entre autres, concoctĂ© un savoureux Tournez manĂšge ! » The Dating Game, le jeu tĂ©lĂ©visĂ© matrimonial de nos grands-parents, diffusĂ© tous les midis sur TF1 du 9 septembre 1985 au 4 juillet 1993 et prĂ©sentĂ© par Évelyne Leclercq, Simone Garnier et Fabienne Égal. Une comĂ©die de boulevard drĂŽle et hilarante qui, prima facie, enfonce bien des portes ouvertes pour le plus grand plaisir des sots et abrutis mais, plus subtilement, en filigrane, pose la question existentielle primordiale de l’importance des choses et des ĂȘtres car, en dĂ©finitive, faut-il s’arrĂȘter Ă  l’apparence extĂ©rieure Ă©phĂ©mĂšre ou creuser et chercher ce qu’il y a de beau et d'Ă©ternel Ă  l’intĂ©rieur de l’autre ? C’est une vĂ©ritĂ© universelle. La chaleur est l’ennemie de l’intelligence. Plus les tempĂ©ratures cavalent sur le thermomĂštre et affolent le mercure, plus le cerveau se ramollit, s’atrophie, sombre dans une lĂ©thargie profonde avant de baisser pavillon et de s’offrir un remake du dĂ©sert des tartares. Les pensĂ©es, sous l’effet de la chaleur, peinent Ă  comprendre les contrepĂšteries involontaires formulĂ©es par Franck Ribery, elles flottent dans une mer d’immobilisme, Ă©tales, vides, exsangues, ne sortant de leur torpeur que pour s’extasier devant la beautĂ© magnifiĂ©e d’un ocĂ©an de glaçons barbotant dans un verre de Vittel. Les paupiĂšres se font lourdes, le sang a du mal Ă  assurer la liaison cƓur-cerveau, les yeux papillonnent de fatigue, la bouche s’assĂšche, le palais n’a plus goĂ»t Ă  rien et le corps tout entier se meut comme un Ă©lĂ©phant de mer Ă©chouĂ© sur une plage de sable. Il fait chaud, on se fiance avec son ventilateur, on joue Ă  l’éventail avec le dernier roman de Sagalovitsch auquel on trouve soudain un intĂ©rĂȘt qui auparavant ne sautait pas aux yeux, on se surprend Ă  congeler ses draps pour s’assurer des nuits paisibles, on s’amourache de son congĂ©lateur et on trouve un charme fou Ă  l’abstinence sexuelle. L’étĂ© venu, l’homme renonce Ă  se diffĂ©rencier de l’animal. Il n’obĂ©it plus qu’à des instincts primaires dormir, manger, boire, se plaindre, maugrĂ©er, se vautrer sur le canapĂ©, s’assoupir, mater d’un Ɠil torve un Ă©cran de tĂ©lĂ©vision ruisselant de rediffusions rances, bouffer des olives Ă  la louche, consulter la mĂ©tĂ©o et se dire “putain, ils avaient raison ces cons, le climat se rĂ©chauffe vraiment.” Les peuplades du sud sont sĂ»rement les plus ineptes de la planĂšte. Ce n’est quand mĂȘme pas pour rien qu’on glorifie Ă  tour de bras le modĂšle suĂ©dois ou danois alors qu’on morigĂšne Ă  tire larigot sur ces branleurs de grecs qui passent leurs journĂ©es Ă  boire de l’ouzo en s’empiffrant de tarama ou sur ces espagnols mollassons tout juste bons Ă  s’enfiler des gardiannes de taureau une fois dix heures du soir passĂ©es. Tandis que le froid, lui, ragaillardit, sonne la rĂ©volte de la pensĂ©e, oblige l’homme Ă  ruser avec les rigueurs de l’hiver afin de ne pas dĂ©pĂ©rir, sollicite l’intelligence en lui intimant de trouver des solutions pour que la vie ne reste pas figĂ©e dans les Ă©tendues glacĂ©es d’un lac saisi par un vent polaire. Le froid rĂ©tablit l’homme dans toute sa grandeur immĂ©moriale. Le froid rend hommage au pouvoir crĂ©ateur et rĂ©dempteur de l’homme, Ă  sa capacitĂ© Ă  se surpasser, Ă  son appĂ©tence pour la lutte et la survie dans un monde hostile, lĂ  oĂč la chaleur consacre la propension de l’homme Ă  se comporter comme un mollusque, Ă  se laisser aller Ă  mener une vie oisive, paresseuse, inutile. Ce qui expliquerait la sottise sans nom de ce billet rĂ©digĂ© par 28 degrĂ©s dans la moiteur d’un bureau confinĂ©. MalgrĂ© une prĂ©sentation d’émission Ă  domicile, Cyril Hanouna de nous offrir des moments de tĂ©lĂ© inoubliables et inĂ©dits. Ce mercredi 1er avril 2020, l’animateur a par exemple fĂȘtĂ©, comme il se doit, le dixiĂšme anniversaire du programme. Durant toute la soirĂ©e, anciens chroniqueurs et personnalitĂ©s cĂ©lĂšbres se sont donc succĂ©dĂ© Ă  l’écran en visioconfĂ©rence pour faire quelques anecdotes jeudi 2 avril 2020, l’animateur de la chaĂźne C8 s’est littĂ©ralement fait voler la vedette par
 Afida Turner ! DĂ©sireux de faire intervenir le plus de personnes publiques possible, Baba avait en effet dĂ©cidĂ© de passer un coup de fil Ă  la chanteuse, notamment pour savoir comment elle vit le confinement. FidĂšle Ă  elle-mĂȘme, c’est en petite tenue qu’Afida Turner s’est montrĂ©e Ă  l’antenne. La jolie blonde Ă©tait en effet vĂȘtue d’un body rouge en dentelle trĂšs Ă©chancrĂ©, qui laissait peu de place Ă  l’ Turner dĂ©zinguĂ©e par Delormeau et CastaldiEn direct de Miami, Afida Turner n’a pas ratĂ© l’occasion de donner son avis sur la crise sanitaire selon elle, c’est le gouvernement qui a créé le virus. À force de se faire enc***r, on se doit confiner. C’est grave ce qu’il se passe, c’est trĂšs triste
 » a-t-elle d’abord Delormeau, un brin agacĂ©, s’est alors insurgĂ© face Ă  la prĂ©sence d’Afida Turner en direct C’est limite de donner la parole Ă  n’importe qui sur des sujets aussi importants. Que Afida Turner ait des informations sur le coronavirus et le gouvernement chinois
 pardon mais ça me fait un petit peu sourire. J’adore Afida mais qu’elle nous fasse rire, qu’elle pose pour des maillots de bain ! Mais ses thĂ©ories complotistes tout en posant en maillot de bain Ă  la Borat, les seins Ă  l’air et le cul dehors
 vaut mieux en rire car c’est totalement grotesque » a-t-il lancĂ© en riant, alors qu’Afida Turner ne se trouvait plus Ă  l’ chanteuse de retour quelques instants plus tard a tenu Ă  continuer Ă  s’exprimer C’est quelque chose de louche, c’est un coup d’Etat, on est en guerre, tout cela est gouvernĂ© ».Benjamin Castaldi "Moi j'aime beaucoup Afida et on a bossĂ© ensemble y'a trĂšs longtemps mais moi ce qui me dĂ©range c'est que ce discours, les extrĂȘmes vont le reprendre. Tout le discours est extrĂȘme, parler de complot c'est un problĂšme. Je ne peux pas cautionner ce que dit Afida. Rendez-vous juste au-dessus pour dĂ©couvrir toutes les photos !AliĂ©nor de la FontaineĂ  lire aussi Patricia Kaas de retour Ă  la tĂ©lĂ©vision Pourquoi la chanteuse n'a-t-elle pas eu d'enfants ? Sylvie Vartan pourquoi elle ne regarde pas sa petite-fille Emma Smet Ă  la tĂ©lĂ©vision

le plus beau dans tout ça rediffusion